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Cryptographie : gros plan sur les pionniers du chiffrement
Pendant la seconde guerre mondiale, Britanniques, Allemands, Américains et Japonais ont mis au point des machines sophistiquées pour chiffrer et décrypter leurs messages respectifs. Rétrospective de ces ancêtres des ordinateurs et des logiciels de chiffrement. Par la rédaction
ZDNet France, publié le 9 juin 2008
Au Royaume-Uni, un appel à souscription est lancé pour restaurer Bletchley Park, locaux historiques où oeuvraient dans le plus grand secret les spécialistes britanniques du décryptage pendant la seconde guerre mondiale. Les gérants des lieux, convertis depuis en musée de l’électronique, y exposent les différentes machines utilisées retraçant l’évolution des technologies.
Elles furent utilisées par des experts britanniques tels que Alan Turing, mais aussi allemands, américains, polonais et japonais.
Ces machines avaient pour mission de chiffrer et décrypter des messages relatifs à des questions de défense et de diplomatie. Leur ancêtre a été créée en 1467 par l’humaniste et inventeur italien Leon Battista Alberti. Il est à l’origine du cadran chiffrant, consistant en la réunion de deux disques, un grand mobile et un petit fixe, marqués des lettres de l'alphabet et de chiffres, dont on modifie l'alignement. Chaque nouvelle position du disque amène de nouvelles équivalences, ce qui inaugure la méthode de la substitution polyalphabétique (source : Wikipedia).
Pour communiquer avec l’extérieur sans que le message soit intercepté par l’ennemi, il fallait que l’interlocuteur connaisse évidemment les clés pour décoder.
Sur la photo, le cadran de chiffrement présenté a été adapté pour un usage en français, langue utilisée pour la diplomatie à l’époque. Les lettres de l’alphabet apparaissent, dans le désordre, sur l’arrête des roues, pouvant chacune être placée dans un certain ordre. (Crédit photo : National Security Agency)
Image et suite sur ZDNet France
ZDNet France, publié le 9 juin 2008
Au Royaume-Uni, un appel à souscription est lancé pour restaurer Bletchley Park, locaux historiques où oeuvraient dans le plus grand secret les spécialistes britanniques du décryptage pendant la seconde guerre mondiale. Les gérants des lieux, convertis depuis en musée de l’électronique, y exposent les différentes machines utilisées retraçant l’évolution des technologies.
Elles furent utilisées par des experts britanniques tels que Alan Turing, mais aussi allemands, américains, polonais et japonais.
Ces machines avaient pour mission de chiffrer et décrypter des messages relatifs à des questions de défense et de diplomatie. Leur ancêtre a été créée en 1467 par l’humaniste et inventeur italien Leon Battista Alberti. Il est à l’origine du cadran chiffrant, consistant en la réunion de deux disques, un grand mobile et un petit fixe, marqués des lettres de l'alphabet et de chiffres, dont on modifie l'alignement. Chaque nouvelle position du disque amène de nouvelles équivalences, ce qui inaugure la méthode de la substitution polyalphabétique (source : Wikipedia).
Pour communiquer avec l’extérieur sans que le message soit intercepté par l’ennemi, il fallait que l’interlocuteur connaisse évidemment les clés pour décoder.
Sur la photo, le cadran de chiffrement présenté a été adapté pour un usage en français, langue utilisée pour la diplomatie à l’époque. Les lettres de l’alphabet apparaissent, dans le désordre, sur l’arrête des roues, pouvant chacune être placée dans un certain ordre. (Crédit photo : National Security Agency)
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PAUL-ANTOINE BISGAMBIGLIA | Mise à jour le 11/07/2008